Arme essentielle de l’homme d’armes à cheval, la lance était fabriquée de préférence en bois de frêne, de charme, de sapin ou de pommier.
On l’appelait souvent « glaive » au Moyen Age ( du grec klados, branche, bâton ).
Elle était, avec l’épée, l’arme des hommes libres chez les Normands.
La lance ne fut utilisée sous le bras à l’horizontale qu’au cours du XIIè siècle au moment où apparurent les arçons de selle qui emboîtaient bien le cavalier.
Auparavant, on chargeait avec la lance en tenant le bois horizontalement, à cheval, à la hauteur de la hanche.
La pratique de cette arme était longue et exigeait autant d’adresses que de force.
Faisant bloc avec son cheval lancé au galop, penché en avant avec sa lance calée sous l’aisselle, le cavalier défonçait la meilleure broigne.
Lorsque le cavalier ne combattait pas, le poids de la lance reposait sur l’étrier droit.
Vers la fin du XIIIè siècle, on adopta les rondelles, gardes d’acier passées dans la hampe et qui garantissaient les mains.
Ces rondelles paraissaient avoir d’abord été plates ou convexes ; plus tard, elles sont faites en forme de pavillon de trompette.
A la fin du XIVè siècle , la lance atteint une longueur de 5 mètres de bout en bout. Un support fixé au plastron, auquel on donna le nom de faucre ou fautre, situé en avant de la main, derrière la garde, permettait de tenir la lance en position horizontale.
On l’appelait souvent « glaive » au Moyen Age ( du grec klados, branche, bâton ).
Elle était, avec l’épée, l’arme des hommes libres chez les Normands.
La lance ne fut utilisée sous le bras à l’horizontale qu’au cours du XIIè siècle au moment où apparurent les arçons de selle qui emboîtaient bien le cavalier.
Auparavant, on chargeait avec la lance en tenant le bois horizontalement, à cheval, à la hauteur de la hanche.
La pratique de cette arme était longue et exigeait autant d’adresses que de force.
Faisant bloc avec son cheval lancé au galop, penché en avant avec sa lance calée sous l’aisselle, le cavalier défonçait la meilleure broigne.
Lorsque le cavalier ne combattait pas, le poids de la lance reposait sur l’étrier droit.
Vers la fin du XIIIè siècle, on adopta les rondelles, gardes d’acier passées dans la hampe et qui garantissaient les mains.
Ces rondelles paraissaient avoir d’abord été plates ou convexes ; plus tard, elles sont faites en forme de pavillon de trompette.
A la fin du XIVè siècle , la lance atteint une longueur de 5 mètres de bout en bout. Un support fixé au plastron, auquel on donna le nom de faucre ou fautre, situé en avant de la main, derrière la garde, permettait de tenir la lance en position horizontale.
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